• J'ai été un peu négligent la dernière semaine, dans la rédaction de ce blogue. Il faut dire que j'ai été un privilégié occupé : j'ai vu quatre spectacles en sept jours et j'ai payé pour un seul! Ah, les avantages de travailler dans le monde su spectacle. Comme si ce n'étais pas suffisant, j'ai marché pour le maintien du système des soins de santé publics samedi dernier, en compagnie de ma gang du PCQ et de Québec solidaire, tout en étant en pensées avec ceux du SEPB-Québec, mon syndicat de mes années de libraire. Dimanche dernier, je suis allé voir le défilé de mode des finissants et finissantes du Collège Lasalle, au Centre des Congrès, accompagné de mes amis avec lesquels je suis allé voir Apocalyptica, jeudi passé. Comme vous pouvez le constater, ma vie a été assez remplie, en plus de mon travail. Il a fallu que je déclare forfait, pour la rencontre du comité de coordination de Québec solidaire dans mon comté. Et jusqu'à ce samedi fatidique, pendant que je me faisais aller la tête de haut en bas sur les rythmes de Meshuggah et Ministry au Métropolis, le Canadien de Montréal se faisait bêtement éliminer par les Flyers. À ce sujet, on m'a envoyé cette image révélatrice sur mon état d'esprit, suite à cette défaite amère...

     

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Je reviendrais un peu plus tard sur ces derniers événements, le temps de me trouver du temps libre, afin de vous décrire un peu ce que j'ai vu. Il y a de quoi raconter pendant des heures et des heures...


    votre commentaire
  • Un peu d'histoire : voici un court texte, que je suis allé pêcher sur le site de Radio-Canada, pour vous rappeler ce que signifie la journée de la Fête des Travailleurs.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Les traditionnelles manifestations ouvrières du 1er mai tirent leurs origines de la fin du 19e siècle, alors que les États-Unis et l'Europe sont le théâtre de plusieurs grands conflits entre le mouvement syndical qui tente de « s'internationaliser » et les représentants du capitalisme que sont les dirigeants d'entreprises privées.
    <o:p> </o:p>C'est un 1er mai, en 1886, que des centaines de milliers de travailleurs américains obtiennent, au terme de deux ans de lutte, la limitation de la journée de travail à seulement huit heures. Le 1er mai est choisi essentiellement pour des raisons pratiques, cette journée marquant pour une majorité d'entreprises américaines le début de leur année comptable.
    <o:p> </o:p>Cependant, c'est aussi le 1er mai 1886 que choisissent, pour entrer en grève, des centaines de milliers d'autres travailleurs américains qui n'ont pu faire fléchir leurs patrons sur la question de la journée de huit heures. Cette grève générale entraînera dans son sillage de violentes manifestations et des répressions policières sanglantes qui dureront plusieurs mois et qui feront plusieurs morts dans les rangs des grévistes et des policiers.
    <o:p> </o:p>En 1889, en France cette fois, l'Internationale socialiste s'inspire des tragiques événements américains pour décréter que tous les 1er mai seront dorénavant utilisés pour revendiquer le droit à la journée de travail de huit heures.
    <o:p> </o:p>Une manifestation qui tourne au vinaigre dans le Nord de la France, deux ans plus tard, le 1er mai 1891, et lors de laquelle des manifestants sont abattus par la police, ancre davantage cette date comme le symbole de la lutte ouvrière.
    <o:p> </o:p>Et la journée s'internationalise définitivement le 1er mai 1920, alors que la Russie communiste décide d'en faire une journée fériée, une initiative qui sera suivie par plusieurs autres pays.
    <o:p> </o:p>En Amérique du Nord, les organisations syndicales, à l'exception notable de celles du Québec, à partir de 1970, n'ont pas suivi le mouvement, préférant au 1er mai une Fête du travail célébrée en septembre.
    <o:p> </o:p>

    Et sur le même thème, j'ai trouvé cet excellent texte du professeur Jacques Rouillard, de l'université de Montréal, sur l'importance de se rappeler ce que signifie le 1er Mai, dans un pareil contexte désastreux pour les travailleurs, devant la financiarisation mondiale de l'économie.

    <o:p> </o:p>On pourrait se demander s'il est encore de mise pour les centrales syndicales de célébrer, le 1er mai, une fête consacrée aux travailleurs. Elle rappelle la lutte des salariés nord-américains en 1886, en faveur de la journée normale de travail de huit heures, et les événements sanglants qui ont eu lieu à Chicago à cette occasion.
    <o:p> </o:p>La célébration de cette journée par un défilé dans les rues s'est répandue en Europe à la fin du XIXe siècle et elle est devenue de nos jours une fête internationale commémorée partout dans le monde. Les organisations syndicales en Amérique du Nord n'ont pas suivi ce mouvement sauf au Québec, où les centrales syndicales se sont jointes à la tendance internationale depuis 1970.
    <o:p> </o:p>Manifestation de solidarité
    <o:p> </o:p>À l'origine et pendant longtemps, cette manifestation des travailleurs salariés visait à montrer de manière symbolique, par un défilé sur la place publique, la solidarité des ouvriers salariés et leur identité comme classe sociale. Comme l'autre fête du Travail célébrée le premier lundi de septembre et propre aux travailleurs nord-américains (marquée par un défilé à Montréal de 1886 à 1952), elle est le reflet de la montée de la classe ouvrière dans les sociétés industrielles. Mais cette volonté d'affirmation a-t-elle encore sa place de nos jours?
    <o:p> </o:p>En effet, la notion de classe ouvrière est disparue du vocabulaire et de l'analyse de la société contemporaine. Elle a été largement remplacée par la notion de classe moyenne, qui s'étend bien au-delà des travailleurs salariés. Cette dernière appellation, basée uniquement sur l'échelle de revenus, présente un contour très vague, ce qui permet aux analystes, aux partis politiques et aux groupes d'intérêts de définir à leur façon et de manière bien contradictoire les intérêts et les aspirations de cette classe moyenne. Au cours des dernières années, elle signifierait pour plusieurs des réductions d'impôt et un repli de l'interventionnisme étatique.
    <o:p> </o:p>Salariés en expansion
    <o:p> </o:p>Mais la classe des travailleurs salariés est-elle vraiment disparue? Les statistiques sur la population active (qui participe au marché du travail) montrent qu'au contraire, les travailleurs salariés sont une catégorie sociale en voie d'expansion. Les personnes qui échangent leur force de travail pour un salaire forment de nos jours pas moins de 90 % de la population active, contre 71 % en 1961. Bien sûr, la structure occupationnelle de ces salariés a changé, la proportion des cols bleus ayant diminué et celle des cols blancs augmenté. Mais cela n'empêche pas qu'une proportion de plus en plus importante de personnes touche une rémunération pour leur travail.
    <o:p> </o:p>La théorie économique néoclassique voudrait que la croissance de la richesse dans une société permette «d'améliorer le niveau de vie, de réduire la pauvreté et d'enrichir la classe moyenne», comme le défend le dernier rapport du groupe de travail sur l'investissement des entreprises présidé par Pierre Fortin et remis dernièrement au gouvernement du Québec. Le rapport plaide pour une hausse de la productivité des entreprises, source de croissance de la richesse collective, en favorisant l'investissement.
    <o:p> </o:p>Pour ce faire, il recommande, entre autres, de réduire les impôts des entreprises et de taxer davantage la consommation, afin de «rendre le Québec encore plus concurrentiel et ouvert sur le monde». Cette stratégie permettrait finalement «d'augmenter le confort matériel de la classe moyenne», de diminuer la pauvreté et d'assurer le financement des services publics.
    <o:p> </o:p>Pouvoir d'achat
    <o:p> </o:p>Cette approche est suivie par nos gouvernements depuis le milieu des années 1980. Elle repose sur le postulat qu'il faut respecter les forces du marché et créer un environnement favorable à l'offre de biens plutôt que de stimuler la consommation. Il en résulterait un enrichissement collectif bénéfique pour tout le monde.
    <o:p> </o:p>Mais ce n'est pas ce que montre l'expérience des 25 dernières années. Les travailleurs salariés, qui forment la majeure partie de la population active, n'ont pas vu leur pouvoir d'achat augmenter pendant cette période. En effet, le salaire réel hebdomadaire ou horaire moyen dans l'ensemble des industries a même légèrement diminué depuis 1983 au Québec comme dans l'ensemble du Canada.
    <o:p> </o:p>Même les travailleurs salariés de la grande entreprise régis par des conventions collectives n'ont pas vu leur rémunération augmenter au-delà de la hausse des prix pendant cette période. C'est unique dans l'histoire du Québec et du Canada que les salariés ne puissent bénéficier d'une hausse de leur rémunération réelle. En effet, depuis que Statistique Canada relève des données sur les salaires et les prix (depuis 1900), l'inflation a été très rarement supérieure à l'augmentation moyenne des salaires horaires et hebdomadaires jusqu'à la fin des années 1970.
    <o:p> </o:p>Gel salarial
    <o:p> </o:p>Le gel salarial depuis le début des années 1980 s'accompagne également d'une semaine de travail qui n'a guère bougé depuis les années 1960. Elle a perdu un maigre deux heures (de 40 à 38,3 heures) pour les employés à plein temps (emploi principal) sur près de 40 ans. Encore une fois, c'est un raccourcissement du temps de travail beaucoup moins marqué que pour les décennies antérieures où, par exemple, la semaine moyenne de travail est passée en général de 48 à 40 heures dans les deux décennies d'après-guerre.
    <o:p> </o:p>En ce qui concerne les avantages sociaux qu'on peut mesurer dans les conventions collectives, il y a un statu quo depuis le début des années 1980. Depuis cette période fleurit également plus que jamais le travail précaire (temps partiel, intérimaire, autonome), qui est passé de 16,7 % de la main-d'oeuvre en 1976 à 31,3 % en 2001. Pas étonnant que les Québécois ne puissent plus épargner, que l'endettement des ménages atteigne des sommets et qu'il faille deux revenus par famille pour avoir un niveau de vie convenable.
    <o:p> </o:p>Niveau de vie
    <o:p> </o:p>Ces constatations sont d'autant plus singulières que la croissance économique a été au rendez-vous au Québec comme au Canada au cours des dernières années. Le produit intérieur brut mesuré en dollars constants s'est accru de 2,3 % par année au Québec de 1981 à 2006, et la productivité du travail a augmenté de 1,2 % par année pendant la même période. La richesse se crée, mais les travailleurs salariés, qui forment 90 % de la population active, n'améliorent pas leur niveau de vie. C'est unique depuis plus de 100 ans de vie en société industrielle au Québec et au Canada.
    <o:p> </o:p>Une stratégie de croissance économique qui ne privilégie que le fonctionnement des lois du marché (déréglementation, libre-échange, recul de l'interventionnisme étatique) sans se soucier d'en mesurer les effets sociaux se traduit par une concentration des richesses au sommet de la pyramide et fait de la majeure partie de la population des laissés-pour-compte.
    <o:p> </o:p>Il est certainement souhaitable d'établir une économie forte et de s'enrichir collectivement afin de pourvoir, comme le veut le rapport Fortin, «diminuer la pauvreté, se procurer un plus grand confort matériel, s'accorder plus de temps libre, augmenter la quantité et la qualité des services publics».
    <o:p> </o:p>Le sort des travailleurs
    <o:p> </o:p>Mais le chemin suivi depuis plus de 25 ans ne s'oriente pas dans cette direction. C'est le contraire qui prévaut. Et constamment, on entend répéter qu'il faut créer de la richesse afin de pouvoir la redistribuer. Elle se crée, mais la redistribution est toujours reportée à plus tard. A-t-on oublié que l'objectif de la croissance industrielle est d'améliorer le sort des humains et non de l'avilir?
    <o:p> </o:p>

    La célébration du 1er mai a encore toute sa signification pour montrer que les travailleurs salariés sont toujours une force sociale et que le discours néolibéral ne permet pas une distribution équitable de la richesse. Son application depuis 25 ans engendre une dégradation de la condition des salariés et une inégalité croissante du revenu des familles.

     



    votre commentaire
  • Les lecteurs habituels de ce blogue savent que j'ai eu une très mauvaise période l'an dernier. Au moment de la campagne électorale provinciale, j'ai tenté de terminer ma maîtrise au plus mauvais moment, la dépression revenait en force pour empoisonner mon existence. Je ne l'ai pas tellement évoqué depuis, étant donné que mes propos étaient surveillés par un cadre de mon ancien employeur, afin de me mettre dans le trouble (on connaît la suite : j'ai été renvoyé sans préavis l'été dernier). Une des raisons pour laquelle mes pensées dépressives se sont accentuées a été la préoccupation presque maladive que j'ai accordé à la suite des événements marquant la montée de l'Union nationale créditiste (ADQ) dans les sondages, à partir du débat entourant les accommodements raisonnables jusqu'à l'élection de la quarantaine de députés adéquistes. Il faut comprendre que les idées avancées par ce parti politique sont aux antipodes de mes convictions personnelles. Voir le triomphe de Mario Dumont, le plafonnement de Québec solidaire à 4% des scrutins, mon ancienne région (Québec) adhérer presque entièrement aux idées de l'ADQ, la coupe a débordée. On aurait dit que les Québécois revenaient à la Grande Noirceur et donnaient raison aux chantres du conservatisme, autant les nostalgiques du duplessisme que les économistes néo-libéraux de l'IEDM et les populistes démagogues de la radio et du Net. C'étais trop pour moi.

     <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Qu'en est-il maintenant? Je reviens souvent sur les déboires de l'ADQ, car désormais le vent semble avoir tourné pour lui, à mon grand soulagement. L'autre jour encore, j'ai placé cet extrait en trois parties du discours d'un député adéquiste de Québec, où nous voyions sans aucun fard la faiblesse navrante de cette équipe prétendant vouloir diriger le Québec. Au début de la semaine, nous avons eu un aperçu de ce qui ne tourne pas rond avec ce parti, dans la lettre de démission de sa vice-présidente et ancienne candidate, madame Sylvie Tremblay. Gilles Taillon, que plusieurs voient comme le numéro 2 du parti, s'est fait coller une poursuite de 900 000$ par Pauline Marois, pour avoir niaiseusement affirmé que la leader du PQ aurait octroyé un prêt de un million à Vincent Lacroix, lorsqu'elle était ministre. L'ADQ a décidé quand même de défendre les dires de son député. Il y a eu ce sondage du Devoir, où les résultats confirment la tendance de la chute de la popularité de Mario Dumont et de son parti. Avec 18%, l'ADQ n'avait fait élire que 5 députés en 2003, c'est ce que le sondage lui accorde. Finalement, les pancartes du candidat de l'ADQ pour l'élection partielle dans le comté de Bourget, Denis Mondor, ont été dénoncé pour leur sous-entendu anti-immigration.

     

    Tout n'est pas perdu pour l'ADQ. Il lui reste en réserve d'énormes moyens monétaires, des appuis nombreux parmi la classe des gens d'affaires, un terrain solide à Québec et les environs. Cependant, on ne sait pas trop comment ce parti pourrait faire mieux, malgré cela. La faiblesse de ses représentants est telle que cette fois, les autres partis vont avoir de la facilité pour démontrer l'incapacité de l'ADQ à gouverner. On nous rapportait encore, à Radio-Canada, comment ses députés n'avaient qu'une vision limitée des débats et n'utilisaient à peine les chercheurs qu'ils ont engagé, permettant ainsi un travail indigne de la part d'un parti formant l'Opposition officielle.

     

    Cette série d'insuccès me réconforte. Ainsi, je n'ai pas à craindre, à court terme, le retour en arrière que préconise l'ADQ et ses partisans. Ce soir, je m'apprête à regarder ce qui semble être la prochaine tuile à tomber sur ce parti, car son ex-vice-présidente va passer à Tout le monde en parle. Nul doute que l'on va encore évoquer les manipulations de la « clique du Plateau », pour cette entrevue, quelque part à Québec...

     

     

     


    votre commentaire
  • J'ai voulu écrire sur la démission de la vice-présidente de l'Union nationale créditiste (ADQ), madame Sylvie Tremblay. La chose est tentante, pour un admirateur (sic) de l'Équipe Mario Dumont. La démissionnaire a rapporté  ce que nous craignons de ce parti politique, soit une volonté manifeste chez lui de ramener le Québec à ce qu'il a été autrefois, un endroit où les employeurs auraient les coudés franches, voire une société qui aurait choisi de ramener la femme à un stade dont elle s'est éloigné depuis longtemps. Ce n'est pas rien comme nouvelle. Je vous invite à lire la lettre de madame Tremblay, intitulée « L'Action démocratique me fait peur ». Elle en dit long sur ce parti, sur sa façon de faire de la politique et surtout, ce côté anti-démocratique qu'il tente tant bien que mal de dissimuler, cette soumission totale que les membres doivent au « cheuf ». À ce propos, l'analyse de Michel C. Auger parue sur la page Web de Radio-Canada est très précise. Il démontre comment l'écart est grand entre la croyance qu'ont eu bon nombre d'électeurs et de nouveaux membres envers une alternative au deux autres partis politiques représentés à l'Assemblée nationale, et la vision politique qu'ont les membres de longue date, le noyau dur des militants adéquistes, acquis au néo-libéralisme et au conservatisme social.

     

    Quant à Mario Dumont, le voilà qui a déjà tranché : « Bon débarras! ». Il n'y a donc pas de place à la dissidence dans ce parti, la loi est donc « Crois ou meurs! ». Il a déjà prévenu que le ménage est enclenché. Échaudé par la présence de quelques hurluberlus racistes ayant fait toutes sortes de déclarations lors des élections de l'an dernier, nul doute qu'il a choisi de recentrer le parti autour de sa propre personne, comme s'il ne l'étais pas déjà, à un niveau devenu gênant aux yeux des électeurs.

     

    C'est l'impression qu'il a donné hier, le Dumont. Endossant à nouveau son personnage de Monsieur Clip, le voilà qu'il prétend avoir la solution aux violences suivant la victoire du Canadien sur les Bruins, au centre-ville de Montréal. Notre tribun est venu prôner la matraque forte, en allant de ses phrases-choc et de sa façon d'avoir l'air d'être l'homme providentiel, au mépris des policiers eux-mêmes, qui ont fait ce qu'ils ont pu, dans un contexte spécifique et très surprenant. Encore un peu et il aurait exigé qu'aucune manifestation ne soit tolérée, pour la suite de la série éliminatoire. D'ailleurs, il est arrivé avec sa déclaration, sans ce que personne lui a demandé son avis là-dessus. Une belle solution d'animateur de ligne ouverte, à mon humble avis.

     

    Soi-dit en passant, pour ceux qui me lisent, le lien suivant permet d'aller sur la page du SPVM, afin d'identifier les crétins venus gâcher la fête, lundi soir dernier. Si jamais vous reconnaissez quelqu'un, vous savez quoi faire. Je ne pense pas qu'il s'agit de délation, quand on remet devant ses responsabilités un petit voyou mal élevé qui profite de célébration pour faire son cinéma. C'est le cas de le dire, avec ces images sur Youtube...

     


    1 commentaire
  • En regardant la partie d'hier, pendant que le Canadien se faisait avoir en prolongation, j'ai fait une découverte formidable. Il est possible de télécharger et de transformer les documents vidéo, pris sur Internet! Moi qui croyais la chose impossible, la surprise a été de taille.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    C'est en cherchant un programme permettant de convertir des fichiers vidéo que j'ai découvert ce programme, Downloadhelper. C'est ce programme qui permet de prendre les documents directement sur Youtube, Dailymotion, etc. Pour l'obtenir et le faire fonctionner, il faut utiliser Mozilla Firefox, afin de pouvoir ajouter le programme directement sur la barre de commandes. Je vous suggère d'aller à cette page, afin de télécharger ce programme. Les allergiques à Firefox peuvent quand même faire fonctionner Downloadhelper sur Explorer, mais je n'ai pas passé par cette voie. Ensuite, il faut télécharger le programme Internet Video Converter, permettant de transformer le format des vidéos  à notre guise. C'est très facile à utiliser, j'ai fait le test avec un film que j'avais téléchargé il ya quelques temps, The War Game, un excellent documentaire dont j'ai fait connaître l'existence sur ce blogue l'an dernier. Du format MP4, je l'ai transformé en un format plus pratique.

    <o:p> </o:p>

    Ça n'a pas été long, j'ai déjà un projet en tête. Vous allez probablement voir bientôt un petit montage décapant, histoire de prouver mon admiration pour Mononc' Serge et sa chanson sur Mario Dumont... j'en rigole déjà!

    <o:p> </o:p>

    La flamme olympique, vue par Mark Fiore

    <o:p> </o:p>

    Cliquez sur l'image, pour voir l'excellente animation réalisé sur le parcours chaotique de cette flamme, censée unifier les peuples, alors qu'elle est gardée par des voyous musclés, qui auraient fièrement pu garder leurs uniformes de flics, tant qu'à faire les gros bras sur les athlètes...

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique