• Mon suspense d'hier est donc dévoilé. Je suis allé au spectacle de Marc Boilard, auteur connu du Code Boilard du vrai gars et un des créateurs du site de rencontre monclasseur.com . C'est par cet intermédiaire que je me suis retrouvé à ce spectacle gratuitement, avec mon ami Frefon. Il se trouve que j'ai une fiche sur ce site de rencontre, dont je ne vais plus très souvent, ni ailleurs parmi les autres sites. Un soir, en revenant chez moi un peu tard, j'avais reçu une invitation du site à participer au spectacle. Quand j'écris participer, ce n'étais pas seulement recevoir une paire de billet gratuitement, mais bien faire partie du spectacle, en devenant un « patient » de la clinique Boilard pour célibataire... Il fallait donc présenter la raison principale pour laquelle on se retrouve au célibat, puis élaborer un peu plus par écrit. Comme je l'ai appris hier, moi et les autres participants avions été choisis pour avoir composé plus qu'une ou deux ligne, pour raconter nos déveines.

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    Ici, ça m'oblige à parler un peu de moi, en un semblant d'intimité. Effectivement, je traîne dans le célibat de façon quasi-permanente depuis plusieurs années. Si je ne tiens pas compte de deux flirts ayant eu une durée de moins d'un mois, obtenus grâce à d'autres réseaux de rencontre concurrents, je suis dans cet état civil depuis 2002 et encore, cette relation avait duré un peu plus de trois mois, à distance et dans le tumulte... C'est un peu la cause de ma recherche de l'âme sœur par ce biais, lequel ne m'a pas donné de résultat probant, d'où ma désaffection de ces sites. Je conserve mes fiches, mais je ne suis pas tellement convaincu de l'efficacité de l'approche. J'ai évoqué ce genre de sites dans un texte précédent, mon opinion demeure encore la même sur ce sujet. C'est une bonne façon de rencontrer des filles, mais il ne faut vraiment pas s'attendre à un succès automatique, sauf si on collectionne les amitiés...

     

    J'en arrive à ma raison pour laquelle ça m'intéresse de participer à la clinique. Je suis de ceux dont le mot « AMI » flashe dans le front en vert fluo, comme me l'a déjà dit Frefon. Dans le mot d'explication que j'ai laissé à cet inscription, j'ai raconté une des nombreuses fois où j'ai réussi à me démarquer comme « AMI », l'été dernier sur la terrasse des Foufs, ici à Montréal. Un fois parmi tant d'autres. Cette explication étais accompagné d'un autre problème que je constate avec les relations homme-femme, c'est ce rôle dévolu aux hommes de jouer les prétendants. Se vendre, faire l'approche, briser la glace, cruiser, etc. Pour moi, je vois ça comme une façon franchement bête de se faire valoir. C'est jouer un rôle qui ne me conviens pas, tant je suis persuadé qu'il faut rester soi-même en tout temps et en tout lieu. Faire de la romance, ça n'a jamais été mon fort et je ne me rappelle plus la dernière fois où je me suis laissé aller à dériver ainsi. Si c'est cas, j'avais sûrement bu. Lundi dernier, quand j'ai reçu la confirmation par courriel que j'avais été choisi parmi 131 concurrents, j'ai quand même hésité à confirmer ma présence. J'ai réalisé ensuite que ça pouvait être un bon sujet pour ce blogue... alors là, j'ai accepté. Mercredi, j'ai invité Frefon à venir avec moi, pendant qu'on discutait au téléphone, lui qui vient de se séparer dans un début de relation. On s'est donc donné rendez-vous à l'UQAM, avant d'aller au spectacle.

     

    Après deux pintes de bière et une bonne bouffe, nous sommes arrivé au GESU, sur la rue de Bleury, pour obtenir nos billets. Le show, divisé en deux parties, commence avec les présentations d'usage de Marc Boilard, qui en profite pour démystifier le phénomène que son personnage est devenu, suite aux différentes émissions auxquelles il a participé. J'ai trouvé ça très habile de sa part, étant donné que moi-même, malgré le fait que j'ai lu son fameux « Code », il demeurait en moi quelques appréhensions. Son spectacle est entièrement basé sur les relations homme-femme et surtout sur l'interaction de la première approche. Mine de rien, ça lui a donné assez de matériel pour faire un one-man show assez réussi, notamment lorsqu'il se met dans la peau d'une fille, en changeant sa voix. Rapidement, le côté un peu prétentieux qu'on lui colle tombe, laissant voir un personnage authentique, très charismatique et surtout, c'est un motivateur-né. C'est d'ailleurs la qualité que j'ai trouvé dans son livre, à défaut d'être sérieux. Comme il l'avait expliqué lui-même, son côté « Testostérone », c'étais très exagéré, pour aller dans le sens de ce show télévisé. L'animateur dont nous avons apprécié le monologue interactif ne correspond pas à cette image. Pendant plus d'une heure, il nous a révélé quelques trucs pour entamer une relation et quelques erreurs à éviter. À voir la très bonne réaction du public, Boilard a bien peaufiné son spectacle, même s'il se contente encore de faire de petites salles, il a certainement du talent.

     

    Tout de même, il faut comprendre que ce thème a aussi des côtés où je ne me retrouve pas. Un comparse de Boilard a fait un bout du spectacle, pour ceux dont le but des rencontres est le one-night stand. C'est une présentation réussie, mais dans laquelle je ne me retrouve plus, après quelques années tranquilles. De même, comme Frefon et moi l'avons constaté, en regardant les autres spectateurs, nous étions pas tellement de cette culture un peu banlieusarde, aux lieux communs qui nous échappent. Les interventions des gens nous l'ont confirmé.

     

    Dans la seconde partie, après une entracte de vingt minutes, les « heureux élus » du site ont été appelé, dont votre humble serviteur. Nous étions au nombre de six, cinq gars et une fille. Nous devions revenir sur le problème que nous avions évoqué sur le site, de même que l'anecdote qui nous a valu d'être choisi. J'ai passé en dernier, pour constater que je n'avais pas trop à me faire, mon cas est des plus commun, selon l'expert. Le drame de se retrouver perpétuellement dans la case « amitié » est le lot de la majorité des gens qui se retrouve au célibat, surtout pour les hommes. Dans le cas des femmes, c'est la crainte de tomber sur un autre « crosseur », soit un individu ayant promi mer et monde, pour révéler ensuite que c'est un menteur-né, qui est le problème du célibat de nombreuses femmes.

     

    Parmi nous, on a eu droit au cas d'un jeune type de 19 ans, portant casquette en permanence, dont le problème est de s'intéresser uniquement aux filles trop « hot » pour lui, ce que Boilard appelle « ne pas être dans la bonne ligue ». Je me suis dit qu'au moins, à ce niveau, ça fait longtemps que je sais à quoi m'en tenir. Sur le site monclasseur, c'est ce que je trouvais un peu plate, la majorité des femmes sont plus jeunes que moi et...ont un style assez invariable, où l'échancrure de la camisole coquine est en évidence. C'est pas tellement mon truc, surtout si la fiche de la fille est pleine de fautes. Bien sûr, si la fille a plusieurs tatouages et qu'elle indique qu'elle aime les mêmes genres musicaux que les miens, ça change tout...

     

    Quand je suis passé à mon tour, assis sur la scène à côté de Boilard, micro à la main, je devais revenir sur ce que j'ai évoqué dans ma demande de participation. Je n'avais pas fait de spécial sur mon apparence, j'ai donc été catalogué assez vite comme un habitué des Foufs...mon look paramilitaire punk et les patches de groupes ornant ma veste sont sans équivoque. Je n'ai pas été trop nerveux, ce n'est pas la première fois que je devais monter sur une scène et j'ai pu placer le fait que pour l'enjôlement, la cruise, j'ai un préjugé très défavorable... pour me faire répliquer aussitôt que justement, ce préjugé me maintien sur des habitudes qui me confine à mon célibat. Frefon me le dira plus tard, quand j'ai été le rejoindre dans la salle « ça fait des années qu'on te le dit, t'es pas obligé d'être tout le temps sur le même mode! ». En fait, je me suis fait dire une évidence, ce n'est pas parce qu'on aime chanter la pomme qu'on est définitivement un menteur et un faussaire. Curieux, j'écris cela ce soir et je ne suis pas encore convaincu, tant je suis un irréductible de l'authenticité.

     

    On est sorti de la salle pas trop tard, sans aller à la troisième partie, qui se passait dans un bar tout près. Le public nous avait convaincu que nous étions pas des leurs. Ça m'a permis de dormir un peu plus que la semaine dernière, lorsque j'ai passé la nuit debout, pour le quarantième anniversaire de Nath, notre vieille chum de Lévis, elle aussi une exilée comme nous, à Montréal. Il faut dire que la tempête qui faisait rage encore à une heure tardive aurait pu décourager les plus téméraires et les plus saouls...

     

    Un exemple de l'approche de Marc Boilard.


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  • Par hasard, en faisant quelques recherches sur des groupes de musique, je suis tombé sur ces deux films disponibles sur Youtube. On voit l'actuel président américain dans différentes situations cocasses ou encore, il va sans dire, plutôt gênante.

     

     

     

    J'ai eu une bizarre impression. Je regardais ces images et je me disais qu'on allait s'ennuyer de lui... bizarre, non? George W. Bush, l'homme le plus puissant du monde, celui qui a cristallisé l'ensemble de l'opinion moindrement éclairée de la planète contre sa présidence et ses politiques, celui qui a amené son pays dans une guerre ruineuse et meurtrière en Irak sous de faux prétextes, celui qui a démontré que le pays de la liberté autoproclamé pouvait se transformer en un régime inédit, entre la dictature policière ( si on songe au nombre d'individus incarcérés dans les prisons et le Patriot Act...) et la république ploutocrate...bref le type le plus détesté parmi les dirigeants du monde, nous allons en être nostalgique. Pourquoi ce sentiment?

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    C'est simple, avant de revoir un tel individu à la tête de l'unique superpuissance militaire de la planète, (j'espère qu')il va en passer des élections, avant que l'on reprenne les électeurs américains à se donner un président de cette mouture, sans parler de ce vice-président qu'est Richard « Dick » Cheney. On risque fort de voir un homme de couleur ou une femme bien avant...

     

    Cela ne m'empêche pas de constater que le départ anticipé de Bush II laissera un certain vide. C'est peut-être ça qui va nous manquer, un personnage tellement repoussant, sur lequel on peut taper dessus. Je m'imagine mal qu'un Barack Obama, Hillary Rodham Clinton ou même John McCain recevoir autant de haine de cette façon. Au moins, il nous restera Stephen Harper (et pour moi Mario Dumont...).

     

     Ma superbe veste, en hommage à l'actuel président américain...

     

    Et ce soir...

    Je m'apprête à participer à un genre d'événement inattendu, je vous en reparle demain. Je n'en écris pas davantage, la surprise sera pour vous, disons... bon, vous verrez bien!


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  • J'ai regardé ce documentaire sur mon ordinateur, Jesus Camp, apparu en 2006. Réalisé par deux cinéastes militantes de la gauche américaine, ce film dépeint une facette de l'intégrisme de l'évangélisme chrétien aux États-Unis. Ainsi, nous suivons quelques jeune filles et garçons issus de familles fondamentalistes, dans un camp de formation religieuse et politique. Le but affirmé de l'initiatrice de ce type de camp, Becky Fischer, une pasteur au fanatisme certain, est d'initier les jeunes enfants à devenir des militants de la droite chrétienne.

    Si jamais le vidéo ne fonctionne pas: http://video.google.com/videoplay?docid=-7157148037183248346&q=jesus+camp&total=2439&start=20&num=10&so=0&type=search&plindex=1

     

    En tant que chrétien, je ne peux être autrement que mal à l'aise, de voir l'utilisation de la foi des jeunes de cette façon. Il m'est déjà insupportable de voir des parents maintenir leurs enfants à la maison, sous prétextes religieux, pour leur inculquer une éducation de toute évidence sectaire. Au début du film, on voit cette mère enseigner à son fils la version fondamentaliste de l'origine du monde, créé par Dieu. Il n'y est pas question de l'évolution et la Terre, bien entendu, a été créé par la Providence il y a 6 000 ans... Mais en plus, cette utilisation de cette foi sert à des fins qui n'ont rien à voir avec Dieu, mais bien pour des raisons bien terrestres. On voit cette jeune fille railler les chrétiens des églises « mortes », parce qu'ils prient d'une toute autre façon qu'elle et les siens. Ou encore, lorsqu'on entend cette mère justifier l'enseignement militant de ses enfants, en prétextant que l'on retrouve un endoctrinement terroriste dans l'ensemble de l'Islam. Et que dire de cette mise en scène, que je qualifie carrément d'idolâtrie, lorsque la pasteur Fischer présente une effigie de George W. Bush, que les jeunes acclament à tout rompre, comme s'il s'agissait du véritable président américain...

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    Comme militant de gauche, mon malaise cède la place à l'indignation, lorsque je vois ces scène d'endoctrinement politique des jeunes, à l'intérieur d'une institution religieuse. Dans une cérémonie du camp, on invite les jeunes à rejeter les valeurs que l'on tente de leur inculquer à l'école, par des agents de la corruption, soit les éducateurs et autres agents de l'État corrompus, en cassant des tasses représentant ces éléments. Pire, un militant anti-avortement fait toute une mise en scène frisant l'hystérie, en priant ces jeunes à se joindre à sa croisade.

     

    Les suites de ce documentaires sont intéressantes. Le camp a subi les critiques les plus acerbes, de la part même des milieux religieux. La pasteur Fischer a dû fermer son lieu de rassemblement, à la suite de la déprédation qu'il a subi, de la part de militants laïques plus acharnés. Cet individu que l'on aperçoit faire un speech, Ted Haggard, président de l'Alliance nationale des Évangéliste, un des lobby les plus puissants de la droite chrétienne, dont l'homophobie était la marque de commerce, a dû démissionner l'an dernier, lorsqu'il a reconnu avoir tenter de se procurer de la drogue d'un prostitué avec lequel il faisait affaire...     


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  • Pour une rare fois depuis que j'ai commencé à écrire ce blogue, j'ai laissé passer quelques jours. En fait, ce n'est pas tant que je n'avais rien à écrire, loin de là. Mais avec quelques soirées un peu arrosées, où je me suis couché très tard, surtout dans la dernière fin de semaine. Dans ces conditions, je n'avais pas tellement d'entrain pour écrire. Surtout quand mes yeux se fermaient, lourds de fatigue...

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    Hier encore, ma journée a été très remplie. Je devais remplacer mon amie Judyth, grippée depuis samedi, à son poste de la réception. Ça été suffisant pour savoir que je suis très heureux de mon poste. Faire quelques heures par semaine à répondre au téléphone et aux visiteurs, pas de problème; une journée entière, ouf! Je suis désormais convaincu de l'importance de cet emploi, tant il est exigeant et pas si léger que cela. Je ne verrais plus ce boulot du même œil, c'est certain.

     

    C'est pourquoi je me suis contenté de regarder un documentaire très intéressant, disponible sur Internet. Jesus Camp, apparu en 2006, a été entièrement numérisé et peut être vu sur le site Vidéo Google. Je sais qu'il peut être loué, pour avoir vu son contenant au club Vidéotron de mon quartier. Je vais revenir ce soir sur ce film assez troublant, dont les images m'ont laissé une impression de malaise.

                


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    Un des groupes dont je reçois régulièrement des informations, No One Is Illegal, m'a fait parvenir ce communiqué. Si vous êtes de Montréal et avez du temps de libre aujourd'hui...

     

    Le 6 mars, en Colombie et ailleurs dans le monde, est rendu un hommage aux victimes du paramilitarisme et des crimes d'État. Le Projet accompagnement solidarité Colombie appelle à un rassemblement à 12h30 devant le consulat colombien (1010, Sherbrooke Ouest, au coin de Metcalfe), pour ensuite marcher dans les rues de Montréal.
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    En Colombie, près de quatre millions de personnes ont été déplacées de force à l'intérieur du pays, majoritairement à cause des groupes paramilitaires. Entre 1982 et 2005, les paramilitaires (AUC, Auto-défenses Unies de Colombie, formées des milices privées des grands propriétaires terriens de Colombie et autres mafieux) ont perpétré plus de 3.500 massacres, ont volé plus de six millions d'hectares de terres, pour l'implantation de méga-projets d'exploitation économique. Depuis 2002 et leur supposée 'démobilisation', ils ont assassiné 600 personnes chaque année. Pendant le premier mandat de l'actuel président, Álvaro Uribe Vélez (2002-2006), au moins 11 084 personnes ont été assassinés ou ont été 'portées disparues' pour des raisons politiques. Les paramilitaires, selon leurs propres dires, contrôlent 35% du Parlement national, et plus de 60 fonctionnaires, de tous grades,  sont accusés de collaboration avec les paramilitaires, dans le tristement célèbre scandale de la « para-politique ». Tout récemment, seulement durant le mois de janvier 2008, les paramilitaires ont commis 2 massacres, 9 disparitions forcées, 8 homicides alors que l'armée a perpétré 16 exécutions extra-légales. Jusqu'à aujourd'hui, l'immense majorité de ces crimes sont impunis.
    <o:p> </o:p>

    Nous devons également dénoncer l'Accord de libre-échange que négocie actuellement le gouvernement Harper avec la Colombie. Un accord qui ne fait que renforcer la dynamique en cours en Colombie, en mettant de l'avant des politiques d'extermination de la paysannerie colombienne et d'exploitation des terres et des ressources naturelles du pays. 
    <o:p> </o:p>Manifestons notre solidarité avec les victimes du Terrorisme d'État en Colombie, pour la libération des prisonnier-ère-s politiques, pour la justice, pour une véritable réparation des victimes du conflit, pour le démantèlement effectif des structures paramilitaires, la fin de l'impunité, pour que le gouvernement colombien cesse de criminaliser et de réprimer les organisations de défense des droits humains et les communautés colombiennes en résistance, pour la restitution des terres aux personnes déplacées, pour que le gouvernement colombien reconnaisse l'existence du conflit au sein du pays et pour une solution politique et négociée au conflit social et armé.
    <o:p></o:p> 

    Nous vous invitons également ce même 6 mars, à 18h au Centre culturel Simon Bolivar (394 boul. de Maisonneuve ouest (métro Places des arts), où se tiendra un panel-forum sur le terrorisme d'État, le paramilitarisme et l'impunité en Colombie.

     


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